Je m’appelle Cannelle, j’ai 28 ans, je vis à Montréal, et je suis la fondatrice des Façonneuses : j’accompagne des jeunes femmes qui sortent des études et qui ont une certaine sensibilité à l’écologie afin qu’elles créent une activité qui soit en accord avec leurs valeurs écologiques et humaines, et aussi en accord avec le monde qu’elles souhaitent voir émerger.

Depuis toute petite, je suis beaucoup dans la nature, c’est un lien au vivant qui est vraiment important pour moi. J’ai été ingénieur en agroécologie, puis j’ai décidé de m’intéresser à l’entrepreneuriat. Depuis 3 ans, j’étudie comment l’entrepreneuriat pourrait être un vecteur de la transition écologique. D’un autre côté, je vois plein de jeunes femmes comme moi, en quête de sens, se demandant comment elles pourraient changer les choses et créer une activité autour de ça. C’est en essayant de faire le lien entre les deux que j’ai créé les Façonneuses.

Avant cela, j’avais créé mon entreprise en freelance, j’étais consultante en agroenvironnement. J’avais envie de créer mon propre projet, dans ma propre direction, pas seulement en suivant le flot de demandes extérieures de clients pas toujours alignés. J’étais à la fois en quête de sens et en recherche de projet : ma peur noire était de ne pas en trouver. Je n’étais pas inquiète sur ma capacité à développer un projet, mais trouver l’idée était quelque chose qui m’inquiétais beaucoup.

J’ai découvert Solène grâce à la magie du web. J’ai trouvé son approche vraiment intéressante, concrète, terre à terre. Je me suis reconnue dans pas mal de points de sa personnalité et aussi de sa vision de l’entrepreneuriat qui m’a beaucoup plu et que je n’avais pas vraiment croisée jusque-là. Nous avons fait une séance découverte ensemble. Suite à cela mon conjoint m’a encouragée à investir en moi, ça a été un déclic. Sur la partie financière, on peut le voir de deux façons : la première, c’est que j’ai investi grâce aux sous que j’avais mis de côté lors de ma précédente activité. Mais ce montant correspond au capital que j’avais investi pour ma première entreprise et qui venait de tous les chèques de papi et mamie à Noël depuis mes 18 ans ! Donc l’investissement de départ, c’est un peu toutes les économies que j’avais accumulées « pendant mes études », sans savoir à quoi cela allait servir.

Aujourd’hui, j’ai trouvé une idée de projet, et c’est très précieux ! Concrètement : j’ai un site internet, j’ai une page Facebook, toute une communication autour de ce projet que je sais comment mener, car ce n’est pas inné ! L’autre point important, c’est l’état d’esprit : je l’ai beaucoup travaillé avec Solène. L’état d’esprit de transformer chaque échec en apprentissage, je commence à l’acquérir. Ce switch d’état d’esprit a été l’un des plus grands changements que j’ai vécus pendant cet accompagnement.

Dans ma première approche, je ne connaissais pas vraiment ma direction. Je n’avais pas de vision au loin. Aujourd’hui c’est très différent. Je sais globalement la direction où je vais, même si la forme peut changer, le cœur y est. J’ai confiance en ça, et je sais que la confiance grandit aussi au fur et à mesure que les étapes sont franchies. J’ai réalisé plusieurs séances découvertes et c’est très enrichissant d’interagir avec cet écosystème, ça m’a donné confiance. Ma prochaine étape est de trouver ma première cliente.

Tous ceux qui débutent un accompagnement sont probablement terrorisés au moment de prendre la décision, comme je l’étais ! C’est normal, et quelque part c’est bien car cela veut dire que c’est un engagement, qu’il va falloir s’y investir personnellement. Faut-il passer le pas d’un accompagnement ? Je dirais oui puissance 10 ! Dans l’accompagnement avec Solène, je ne m’attendais pas du tout à bénéficier de tout ça, le contenu et l’accompagnement autour ont été bien supérieurs à ce à quoi je m’attendais ! Le résultat a été au-delà de mes attentes. Alors, si vous pensez que ça passe bien niveau feeling avec la personne et que la méthode vous plait, foncez !